Rapport GIEC, le 2e volet
Informer sans faire culpabiliser, c’est ce que nous prônons chez BIBAK.
Sans prise de conscience, pas d’action. Alors nous vous relayons les informations qui nous semblent importantes, issues de sources fiables, basées sur des faits avérés.
Et nous vous laissons vous faire votre propre avis.
Parmi les sujets que nous avons envie de vous partager, il y a le rapport GIEC.
Dans un premier volet paru en août dernier, le GIEC (Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat) exposait les faits scientifiques associés au réchauffement climatique.
Depuis, un deuxième volet a été publié.
Que dit le 2e volet ?
Vous le savez : le réchauffement climatique n’est pas un problème à venir, c’est un problème d’actualité (+1,09°C par rapport à l’ère préindustrielle).
Et les conséquences se font déjà ressentir.
Le constat des 270 scientifiques du GIEC est sans appel.
Les feux de forêts, inondations, vagues de chaleur… qui se multiplient depuis des années sont bien imputables au réchauffement climatique.
En tout, ce sont 3,3 à 3,6 milliards qui seraient « hautement vulnérables » au changement climatique.
A quoi devons nous nous attendre pour les prochaines années ?
2 périodes sont à distinguer :
- Le court terme (jusqu’à 2040), pour laquelle les jeux sont déjà fait
- Le moyen long terme (de 2040 à 2100), pour laquelle les effets vont dépendre de notre capacité à endiguer le réchauffement climatique.
Les scientifiques nous informent que chaque dixième de degré supplémentaire a son importance.
Pourtant, les promesses faites par les Etats nous mènent vers un réchauffement de 2,7°C. Sous réserve qu’elles soient tenues.
Est-il possible de s’adapter au réchauffement climatique ?
En partie. Il n’est pas trop tard.
Limiter les risques, c’est possible.
Nous adapter aux conséquences du réchauffement climatique, c’est possible.
Mais cela passera nécessairement par un engagement global et rapide.
Le rapport du GIEC nous alerte sur la nécessité de protéger la nature.
Si nous la protégeons, la nature peut être un réel allier pour limiter le changement climatique.
A l’inverse, si nous ne protégeons pas les systèmes naturels, ils pourraient jouer un rôle négatif sur le changement climatique.
En conclusion : foutu ou pas foutu ?
Pas foutu mais plus de temps à perdre !